Dior Institut au Plaza Athénée, haut lieu du luxe parisien (France)
|
Dior Institut au Plaza Athénée, haut lieu du luxe parisien (France)
|
Catégorie : Europe - France - Économie du secteur -
Tendances, avis d'expert
Ceci est un communiqué de presse sélectionné par notre comité éditorial et mis en ligne gratuitement le 01-10-2008
Haut lieu du luxe
Dior Institut au Plaza Athénée
Cabine est un terme qui, dans le langage Haute Couture, conserve sa mythologie : cabine de mannequins, cabine d’essayage, cabine VIP. Dans l’univers de la beauté, il évoque la cabine d’Institut où, à l’abri du monde et des regards, s’effectuent ces soins esthétiques qui subliment la beauté. L’univers de Dior Institut semble ainsi le prolongement naturel de la Maison de Couture, un lieu où les codes emblématiques de la marque sont mis en scène dans un décor luxueux exalté par les jeux de lumière.
Premiers pas, première prise de contact avec l’Institut : la
descente d’un escalier historique qui permet de quitter progressivement l’atmosphère de l’Hôtel Plaza Athénée.
Un mur d’images présente la légende Dior et ouvre sur une ample galerie voûtée qui offre au regard une vertigineuse
perspective. Bassin central surmonté d’une ‘goutte’ lumineuse en verre soufflé, arcades cintrées menant aux cabines, préciosité des matériaux aux textures douces
et irisées, tout ici, jusqu’au plus petit détail, témoigne d’un luxe et d’un raffinement hors normes.
Dans chacune des cinq spacieuses cabines, dont une double cabine VIP, on retrouve la chaise médaillon emblématique,
revisitée dans des matières argent et blanc, des miroirs enrichis du motif cannage, codes de la Maison de Couture
associés à la modernité d’une table de diagnostic en marbre blanc, équipée d’un système informatique à la pointe de la
technologie.
Salon de repos et tisanerie parachèvent l’expérience Dior Institut, tandis qu’un espace fitness, hammam et sauna invite à prolonger ou accompagner les bienfaits des soins.
Quintessence d’expertise la jeunesse, une attitude
Luxueux, sophistiqués, les cosmétiques Dior se sont imposés dans le monde entier grâce à leur formidable avance technologique dans le domaine de l’anti-âge. Une spécificité que Dior ne cesse d’enrichir à la lumière d’une recherche de pointe. Cette philosophie unique, alliant à la fois innovation, raffinement et sensorialité,se retrouve à l’identique dans la méthode et l’éthique même de Dior Institut.
Dans ce lieu où le temps s’arrête, l’objectif essentiel est de faire renaître la jeunesse du visage et du corps par une approche globale, qui fait interagir le meilleur des traitements et des techniques pour optimiser le résultat.
Initiée par un diagnostic exclusif qui permet d’établir le « profil jeunesse » de chaque femme, la méthode Dior Institut conjugue trois principes synergiques, quintessence de l’expertise anti-âge :
Le massage du dos.
Ultra sophistiqué, un massage dit Lifting 3D est programmé en prélude à chacun des soins. Fondé sur une parfaite
connaissance des fibres musculaires et des circuits énergétiques, il a pour objectif de réveiller les flux vitaux et ‘regalber’ l’armature du corps. Une transformation
profonde qui se reflète dans l’attitude, le port de tête, et jusque sur les traits du visage.
La micro-abrasion.
Atout high-tech de la méthode Dior Institut, ce concept inédit prend le relais du massage pour opérer une
revitalisation intense des tissus.
Réunissant à lui seul les capacités de plusieurs appareils des plus performants – peeling doux, photostimulation rouge
ou bleue, lymphodrainage – cet outil
d’avant-garde tient le pari de retarder tout traitement esthétique agressif, et même le recours au lifting.
Les concentrés actifs anti-âge Dior.
Stimulée, réoxygénée, drainée, la peau régénérée est prête à exploiter au maximum les actifs anti-âge Dior qui lui
seront délivrés au cours des soins.
Dior Institut au Plaza Athénée
Les soins
Selon les rythmes de vie, les attentes, les envies du moment, Dior Institut propose aux femmes et aux hommes une sélection de programmes innovants adaptés à chaque emploi du temps.
Parmi eux, quatre soins ‘vie active’ et plusieurs options ‘séjour’ ont été spécifiquement mis au point pour Dior Institut au Plaza Athénée.
Il y a parfois des évidences, des parcours croisés qui ne peuvent donner naissance qu’à d’inéluctables rencontres. Celle de Christian Dior et du Plaza Athénée a eu lieu il y a longtemps, mais s’écrit encore et toujours au présent.
Parce que le luxe, l’élégance et le raffinement se conjuguent et innovent indéfiniment, parce que les deux Maisons portent en elles la quintessence de l’esprit parisien, il était naturel que Dior et le Plaza Athénée unissent leurs valeurs et leur savoir-faire pour que le plus parisien des instituts voie le jour.
Il était une fois
Dior et le Plaza Athénée.
Leur histoire est née il y a plus de 60 ans sur ce qui est devenue la mythique avenue
Montaigne. Inauguré en 1913, le Plaza Athénée incarne l’élégance et l’art de vivre parisien.
En 1946, la Maison Christian Dior s’installe à proximité du Palace, dont le couturier éponyme fait rapidement sa seconde Maison. La Haute Couture, l’esprit des lieux, la clientèle d’exception, le service sur-mesure… autant de ressemblances, de parentés, de valeurs communes qui légitiment pleinement l’union entre Dior et le Plaza Athénée.
La Couture, inspirée
Dès 1947, Christian Dior choisit le Plaza Athénée comme lieu privilégié de l’expression de son talent : ses créations y sont souvent photographiées, ses mannequins y ont leurs habitudes, il y convie à déjeuner ses meilleures clientes et y prend lui-même – à l’abri des regards indiscrets, dans un salon privé – ses repas.
Aussi, en hommage au Palace qu’il vit au jour le jour et qui l’inspire, il baptise quelques modèles de ses collections des noms de « Plaza » ou d’« Athénée ».
De 1947 à 1958, les noms des créations de Monsieur Dior symbolisent ponctuellement cette proximité et cet attachement entre le créateur et le Palace de la mode, comme en témoigne d’ailleurs le tailleur « Bar », créé en 1947.
La clientèle, d’exception
Joséphine Baker, fidèle à Diorissimo, puis au Rouge Dior dès 1955, Ava Gardner et plus récemment Sharon Stone et Monica Bellucci… Dior et le Plaza Athénée ont tour à tour habillé et accueilli les plus grands noms de ce monde.
Séduites par le savoir-faire, le talent et la réputation de ces deux Maisons parisiennes, de nombreuses personnalités du monde du cinéma, des affaires et de la politique en ont fait leurs adresses de prédilection, deux incontournables escales dans la capitale
L’âme de l’avenue Montaigne,sans cesse réinventée
Situés à quelques mètres du théâtre des Champs-Élysées, lieu historique de la création des ballets russes de Diaghilev ou bien encore de la célèbre revue nègre de Joséphine Baker, qui donna le coup d’envoi de la déferlante jazz, Dior et le Plaza Athénée reflètent « l’air du temps » d’un point de vue culturel et artistique.
Le Plaza Athénée célèbre l’art et l’Art déco au Relais Plaza où il accueille les artistes qui viennent en nombre, tandis que Monsieur Dior, pleinement inspiré par cette effervescence « artistique », interprète et créé, avec sensibilité, ses collections. Un goût du spectacle et une sensibilité artistique que John Galliano, dès son entrée dans la Maison, a su magistralement réinventer.
Le service, sur mesure
Au-delà de leurs valeurs respectives - l’innovation, l’esthétisme, le service pour le Plaza Athénée, le High Tech, le luxe, le contemporain pour l’Institut Dior - et de leur volonté commune de préserver l’Héritage de leurs Maisons, Dior et le Plaza Athénée ont voulu, avec cet institut, créer un lieu où l’éveil des sens se décline avec sens : le sens de la rigueur et du résultat bien sûr, mais également le sens de l’accueil et du service, discret et efficace, permettant que le moindre désir soit exaucé, toujours avec cette infinie légèreté qui fait l’élégance « made in France ».
En créant Dior Institut au Plaza Athénée, les deux Maisons s’unissent pour réaliser le souhait exprimé par Monsieur Dior, celui de rendre les femmes « plus belles et plus heureuses », en totale harmonie avec elles-mêmes, avec leur âge et l’esprit du temps.
|
|
