Le Journal des Palaces

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L'envol du Bristol (France)

L'envol du Bristol (France)

Catégorie : Europe - France - Économie du secteur - Rénovation ou nouveauté dans un établissement
Ceci est un communiqué de presse sélectionné par notre comité éditorial et mis en ligne gratuitement le 17-09-2009


UNE NOUVELLE AILE…
Le 15 septembre 2009, Le Bristol écrit une nouvelle page de son histoire en s’enrichissant d’une nouvelle aile. Le plus célèbre des palaces parisiens, désigné en 2008 Meilleur Hôtel du Monde*1Meilleur Hôtel d’Europe, Meilleur Hôtel Romantique de Luxe, Meilleur Restaurant d’Hôtel en Europe, conforte ainsi sa réputation exceptionnelle dans l’univers de l’hôtellerie de luxe. Aux 161 chambres existantes s’ajoutent désormais 21 chambres et 5 suites raffinées au confort absolu, ainsi qu’un nouveau restaurant, le 114 Faubourg, une table ouverte sept jours sur sept au concept original, à la carte surprenante.

La nouvelle aile du Bristol, réalisée dans les règles de l’art, se déploie sur près de 3 250 m2, sept étages, et deux façades : l’une qui embrasse le Faubourg Saint-Honoré,
l’autre qui mord sur l’avenue Matignon permettant une très large vue d’angle sur Paris.

Le capital architectural de ce bâtiment d’inspiration haussmannienne, acquis à partir de 1989, tout en frises et ferronneries, a été préservé et réhabilité. Mitoyen du Bristol, il en amplifie la visibilité et le rayonnement. Un rayonnement planétaire qui a toujours été souhaité et encouragé par la famille Oetker, propriétaire de l’hôtel
depuis 1978. Dès son acquisition, Rudolf A. Oetker s’attèle à faire du Bristol un palace unique. Il le désire plus beau, plus prestigieux. Dans l’esprit de ce visionnaire
industriel allemand, le Bristol doit pousser les murs pour se donner des ailes. Il donnera un nouveau rayonnement dans les années 80 à ce joyau parisien avec la conquête de l’ancien cloître des soeurs de l’Espérance et son jardin.

Plus tard, la famille acquiert l’immeuble voisin qui, aujourd’hui, sublime le Bristol. Le souhait de Rudolf A. Oetker a enfin été exaucé. Sa réalisation a été rendue possible par une femme, sa femme, Maja Oetker qui s’est personnellement impliquée dans les moindres détails de l’aménagement de cette nouvelle aile.

UNE NOUVELLE AILE, UN SEUL PALACE, UN MÊME ESPRIT
’histoire du Bristol est une histoire de famille. Pas étonnant alors que les deux se confondent. Dans les faits, le palace se prolonge dans un nouveau bâtiment. Ils font corps, osmose permise par des couloirs à tous les étages, de multiples connexions à tous les niveaux. Il n’y a pas de rupture dans l’architecture, dans l’aménagement comme il n’y a pas de rupture dans l’esprit qui gouverne cet hôtel
depuis plus de 30 ans. Sous l’impulsion de Maja Oetker, et sous la direction quotidienne de son directeur général, Pierre Ferchaud, Le Bristol perpétue des valeurs, imperméable aux tendances et aux modes éphémères. Mais le propre d’un authentique palace n’est-il pas de préserver son âme, son identité sans se soucier de ce que feront les autres, de ce qu’ils diront ? Seul compte le service impeccable rendu au client. La fiabilité, la gentillesse, la subtilité, la créativité, la joie, l’authenticité,
l’assurance de se sentir chez soi au sein de ce palace sont autant de vertus inscrites dans l’ADN du Bristol. Ici, le client est d’abord un hôte, un bienvenu au sens littéral
du terme. C’est dans cet esprit de famille, avec passion et abnégation, que Maja Oetker a conçu cette nouvelle aile.

26 NOUVELLES CHAMBRES ET SUITES…
e Bristol est réputé, entre autres, pour son service sur-mesure. Chaque client est unique. Suivant ce principe, chacune des 21 chambres et cinq suites de la nouvelle aile a été pensée et conçue particulièrement. C’est dans un travail d’orfèvre ou de haute couture que s’est engagée Madame Oetker. Harmonie, fraîcheur, bien-être, confort, élégance, luminosité ont été les maîtres mots pour offrir
aux hôtes du Bristol un luxe à la française, intemporel et reflet de l’art de vivre du palace. Ici plus qu’ailleurs l’essentiel fait sens. Cela s’exprime d’abord en volume et
en luminosité. Les plafonds sont hauts, la lumière généreuse, l’espace de chaque chambre est supérieur à 40 m2. Cela se traduit également par une décoration
personnifiée où chaque meuble, chaque couleur, chaque tissu, chaque tableau ou luminaire ont été soigneusement sélectionnés, quand cela n’a pas été façonné sur
commande.

Les spacieuses et confortables salles de bain de toutes les chambres et suites sont en marbre rose du Portugal. A noter qu’elles bénéficient pour beaucoup de la lumière du jour… Les rideaux taillés dans les plus belles étoffes, épais, soyeux, rassurants, parent les fenêtres à l’acoustique absolue, jouant avec les murs aux couleurs chaudes tantôt douces tantôt vives. Il se dégage de chaque chambre un sentiment de sérénité, d’intimité absolue. Symbolisé par ces spacieux lits de 2 mètres, une délicate invitation aux songes qui parfait l’impression que le temps s’est suspendu…

Cet esprit de sophistication, marque de l’hôtel Le Bristol, de son jardin, le plus grand des palaces parisiens, à sa piscine, conçue comme le pont d’un paquebot de la Belle
époque, est poussé à son paroxysme à travers cinq nouvelles suites époustouflantes.

Deux exemples : au 7ème étage, là haut, où l’on fixe crânement d’un seul coup d’oeil la tour Eiffel et le Grand Palais, une suite mansardée, composée de deux chambres se
déploie sur plus de 130 m2. Tentures murales fleuries et rideaux dans les mêmes tonalités, impression de déambuler dans un manoir anglais, au charme “so cosy“.

Un étage plus bas, avec une vue aussi inouïe, un authentique pied à terre parisien de 200 m2 accueille ses hôtes : la suite Paris, ceinturée par un large balcon baigne dans la lumière, mise en valeur par des tons jaunes turquoise et rouge. Deux chambres la composent, ainsi qu’un salon - salle à manger et un véritable hammam. La suite jouit également d’une petite terrasse qui plonge sur une cour intérieure. Paris, je prends ton air ! On s’y sent chez soi, tout simplement…

Ou tout simplement, ces deux suites symbolisent l’esprit de famille cher aux propriétaires du Bristol. Et à l’image des autres chambres et suites de la nouvelle aile, ces deux espaces exceptionnels sont modulables. Ils offrent de multiples possibilités de combinaisons afin de satisfaire au mieux l’exigence des hôtes du Bristol. Seul le sur-mesure permet cette capacité à s’adapter et à assurer un bien-être sans équivalent. Ce confort extrême se traduit également par une attention essentielle aux problèmes environnementaux et aux moindres détails…

Dans la nouvelle aile du Bristol a été appliquée la règle de « tolérance zéro ». Jamais un palace parisien n’était allé aussi loin dans ce domaine. Les systèmes d’éclairage et
de commande se distinguent par leur simplicité enfantine. Les fenêtres comme les toits répondent à des normes de très hautes performances acoustiques mais aussi thermiques.
Le silence est d’or. Chaque pièce est redoutablement isolée, les gaines de ventilation ont vu réduire leur souffle au maximum. Afin de ne pas empiéter sur le volume
habitable, toute la technologie de pointe ayant trait au conditionnement de l’air et à la récupération de la chaleur est dissimulée dans les sous-sols. Et ceux qui désirent
ouvrir leurs fenêtres en grand sur la capitale le pourront… Evident ? Non ! Dans beaucoup d’établissements hôteliers, les fenêtres sont bloquées, et l’impression d’évoluer dans une prison dorée domine. Côté sécurité, un système de protection contre les rayonnements magnétiques totalement innovant a été prévu. Les procédés de détection des fuites ou de la fumée ont été dissimulés dans les faux plafonds. Chaque détail, pratique, technologique, a ainsi été pesé, pensé afin de garantir aux clients du Bristol un séjour inégalable.

LE 114 FAUBOURG, UN NOUVEAU RESTAURANT
ette nouvelle aile du Bristol ne pouvait se déployer sans la création d’une nouvelle table, maillon manquant entre son Bar culte et son prestigieux restaurant triplement étoilé. Le 114 Faubourg a pris ses quartiers au rez-dechaussée du nouvel édifice. Situé sur deux niveaux ayant vue l’un sur l’autre et reliés par un majestueux escalier de fer forgé à la courbe étourdissante, le nouveau
restaurant du Bristol est un jardin des délices ouvert 7 jours sur 7. Madame Oetker a souhaité faire du 114 Faubourg un lieu de Vie, frais, joyeux, un antidote à la morosité
urbaine. Sa belle-fille, Elvira Oetker, lui soumet alors l’idée de travailler avec Guendalina Litta Modignani, une Italienne réputée pour organiser les plus magiques fêtes privées du monde.

A charge pour elle de faire de ce restaurant l’adresse où se réinvente chaque jour le quotidien. Aidée dans sa tâche par l’architecte d’intérieur, Daniel Patzelt, Guendalina
Litta Modignani a misé sur l’une des fleurs favorites de Maja Oetker : le dahlia. Pas de dahlia noir minimaliste ! Mais une véritable profusion de photographies de dahlias aux couleurs chaudes immortalisés sur des murs d’un orange flagrant. Les fleurs sont imprimées au rez-de-chaussée sur de grands panneaux, et à l’autre niveau, sur des surfaces transparentes rétro-éclairées. Une constante : la couleur
violette de la moquette et des banquettes aux formes avenantes, mises en lumière par un ingénieux éclairage à base de leds.

Lumière délicatement reflétée par les quatre imposantes colonnes patinées or qui donnent au 114 Faubourg une touche de solennité. Une touche seulement car domine ici une ambiance florale, chaleureuse et poétique à la fois, contrastant avec le caractère high-tech de la cuisine ouverte et visible du restaurant et de la cave vitrée.
Face au restaurant se niche une petite merveille, un salon privatif de 12 couverts. Un lieu à part, réservé, dont la discrétion est assurée en grande partie par de nobles
boiseries de chêne blond. Ce salon est particulier à plus d’un titre. Il est privé, mais aussi chargé d’histoire. De famille évidemment ! Nous sommes au Bristol et il n’est
pas inutile de répéter que l’histoire de ce palace se confond avec l’histoire de ses propriétaires.
On saisit mieux ce que cela signifie lorsqu’on se penche sur l’écran qui trône au milieu d’un mur solarisé. On y voit la photo noir et blanc d’un cavalier, la cigarette
aux lèvres, sautant gaiement au-dessus d’une tablée de messieurs. Cette image s’anime par courts moments, comme secouée par une brise invisible... La nappe se lève, le cheval se cabre… La magie d’une image retravaillée en vidéo. Le cavalier n’est autre que le Prince Vincenzo Grimaldi di Nixima, l’arrière grand-père sicilien
d’Elvira Oetker. Tout autour de l’écran, sur un fond noir inspiré par la terre volcanique de l’Etna, l’artiste Charley Case a dessiné, selon une subtile technique de
grattage, les périples de cet aristocrate excentrique. Eleveur de chevaux, il fut le premier au 19ème siècle à importer sur son île des purs-sangs de Syrie … Aujourd’hui encore, dans les environs de Catania, la famille d’Elvira élève ces merveilleux chevaux. L’histoire aime à bégayer. Le Bristol en est la mémoire.

Aux commandes de ce restaurant de quatre-vingt-treize places, Eric Desbordes, un jeune chef de 28 ans adoubé par Eric Frechon, le Chef des Cuisines du Bristol. Perfectionniste, passionné par son métier, l’homme aux 3 étoiles souhaitait s’assurer la collaboration d’un homme de confiance qui partage la même philosophie de la cuisine que lui et qui a déjà démontré tous ses talents au Hilton, au George V et au Pershing Hall.

Au final, la carte, reflétant l’esprit même de la décoration, se montre joyeuse, originale, simple. Une cuisine créative et authentique, où les légumes frais et de
saison sont à l’honneur midi et soir. Comme ces gaufres de pommes de terre au saumon fumé proposées en entrée. Ou ces soupes de concombre au lait de coco pour se mettre l’eau à la bouche. Autre particularité du 114 Faubourg : la cuisson surmesure. Une petite révolution dans l’univers culinaire. Les clients peuvent en effet choisir entre une viande (3 sortes en fonction des saisons) ou un poisson (5 variétés
en fonction des saisons) cuits au grill, à la plancha, à la vapeur ou pour les grosses pièces (poulet entier ou queue de lotte) à la broche. Plus que jamais le client est roi
dans le nouveau restaurant du Bristol. Jusque dans les sauces où il devra trancher entre traditionnelles et d’ailleurs ! Pour les fromages, le chef a opté pour une sélection réduite (3 sortes) mais représentative du meilleur du terroir. La qualité avant l’exhaustivité. La définition même du luxe. Du côté des desserts, les gourmands disent merci à Laurent Jeannin, le talentueux et créatif Chef Pâtissier du Bristol : tuile croustillante au cacao, noisette craquante, minestrone de fruits exotiques, nage de pommes vertes et framboises, mille feuilles à la vanille de Bourbon et caramel demi-sel …

Question vins, le sommelier Marco Pelletier a choisi délibérément de sortir de nos frontières, affirmant là la dimension internationale du palace, en privilégiant les vins
du monde.

UN PEU D’HISTOIRE…
Quelques années charnières font date dans l’histoire du Bristol:
- 1758, le Duc de Noailles vend le terrain sur lequel est aujourd’hui bâti le Bristol à un entrepreneur du roi Louis XV. Il s’agit alors d’un vaste et verdoyant terrain
maraîcher. Un hôtel particulier est bâti sur cet emplacement quelques années plus tard. La Comtesse de Damas acquiert la propriété puis la lègue à sa fille, alors veuve
du Comte Charles de Vogüé.

- 1829, un mécène, le Comte de Castellane, aménage son propre théâtre privé dans l’hôtel particulier qui lui appartient.

- 1925, Hyppolite Jammet, fils du propriétaire du « Boeuf à la mode», transforme le palais du Faubourg, acquis deux ans plus tôt, en palace. Il le nomme Bristol, en hommage à un grand voyageur britannique, le Comte de Bristol.

- 1978, Rudolf A. Oetker, homme d’affaires allemand, fait l’acquisition de ce joyau parisien.

- 1979, sous son impulsion, le Bristol s’agrandit une première fois en s’étendant sur l’ancien cloître des soeurs de l’Espérance et son jardin.

- 1989 marque le début de l’acquisition du nouvel immeuble.

- 2009 célèbre la fin des travaux et l’ouverture de la nouvelle aile du Bristol.

Fiche technique du 114 Faubourg
Le Chef des Cuisines : Eric Desbordes, supervisé par le Chef Eric Frechon.
Le Chef Pâtissier : Laurent Jeannin
Le Chef Sommelier : Marco Pelletier
Le Directeur du Restaurant : Christophe Macaigne

Réservation
Tel: 01 53 43 44 44

Horaires d’ouverture
Le 114 Faubourg est ouvert tous les jours :
- Déjeuner : 12h30 – 14h00
- Dîner : 19h30 – 23h30



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