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Le Couvent des Minimes dévoile ses deux restaurants (France)

Deux identités dirigées par un seul chef

Le Couvent des Minimes dévoile ses deux restaurants (France)

Deux identités dirigées par un seul chef

Catégorie : Europe - France - Économie du secteur - Rénovation ou nouveauté dans un établissement
Ceci est un communiqué de presse sélectionné par notre comité éditorial et mis en ligne gratuitement le 16-04-2015


C’est une nouvelle histoire qui s’écrit pour le Couvent des Minimes Hôtel & Spa l’Occitane. Colorée, fraîche et design, la nouvelle décoration de l’établissement dévoile un univers résolument contemporain, dont la justesse va de pair avec la cuisine de ses deux restaurants rénovés : Le Cloître et Le Pesquier. Profondément ancrés dans l’histoire du lieu, ces restaurants s’intègrent aujourd’hui comme le prolongement logique et gustatif de l’expérience Couvent des Minimes.

Après avoir travaillé avec Thierry Marx à Cordeillan Bages, Troisgros à Roanne où il sera second puis chef de cuisine pendant 3 ans et ensuite Pierre Gagnaire (Les Airelles, Courchevel - Lotte Hotel, Séoul – Colette, Saint Tropez), le chef Jérôme Roy intégre le Couvent des Minimes en juillet 2012, pour gérer les deux restaurants. De ses voyages, le chef a gardé le goût des épices, du piment vif, des thés fumés de Chine, des agrumes acidulés et des fruits exotiques, qui viennent créer des passerelles entre produits locaux et inspirations d’ailleurs.

Plaçant le produit au cœur d’une cuisine raffinée, le Couvent des Minimes s’attache à choisir des fournisseurs de qualité et de proximité, offrant le meilleur d’un terroir riche parmi : la famille Yernaux pour ses fromages Bio, Olivier Baussan et Première Pression Provence pour l’huile d’olive, Jean Claude Vigin pour les truites du lac d’Esparron de Verdon, Damien Motte pour les Yaourts GAEC de la Tour de Franque, Damien Gallegos pour les fromages de brebis, Louis Peyron pour le miel et les framboises, le Moulin Chambelland (meunier) pour sa farine Bio (riz et blé).

Le Cloître

Situé dans l’une des ailes du Couvent, l’entrée se fait par l’une des alcôves discrètes. Dans une salle baignée de la lumière, le mobilier couleur ébène contraste avec le cuir beige élégant qui habille buffets et fauteuils. Le décor joue habilement avec les suspensions et un immense mur de motifs végétaux vient habiller la pièce d’un subtil mouvement.

Le Cloître propose une cuisine empreinte de produits locaux, rafraîchie de touches exotiques, faisant écho aux voyages du chef : Asperges vertes de Piolenc (en saison), Pommes de terre et truffe mélanosporum en déclinaisons, Agneau de provence aux piments doux mi-confits, crème de haricots rouges et quinoa, Sole de Méditerranée avec jus de poire et kimchi, le citron en différentes textures, lait d’amande et madeleine… Des accords audacieux et raffinés témoignent de la volonté du chef de bousculer les codes de la cuisine classique, sans pour autant faire perdre ses repères au client : réveiller d’une épice, laquer par un jus fumé, pocher dans un bouillon longuement infusé, chaque bouchée se veut être une émotion à part entière.

Côté cave, l’éclectisme est de mise, avec une exceptionnelle sélection nationale et internationale, proposant également des vins issus de l’agriculture biologique et biodynamique. Le restaurant est ouvert du mardi au dimanche pour le dîner et également le dimanche au déjeuner. Menus à 70, 100 et 130 €.

Le Pesquier

Le bistrot du Couvent, face à la piscine, peut accueillir à présent 70 couverts. Avec sa terrasse véranda est baignée de lumière, son carrelage graphique bleu, son mobilier aux teintes claires, Le Pesquier est un havre de paix où la cuisine conjugue les meilleurs produits du terroir dans des accords frais et gourmands. Pâté en croûte de canard aux champignons des bois (en saison), asperges vertes de pays et caillé de chèvre frais avec vinaigrette à l’orange, tranche de paleron de bœuf braisé au grenache noir de Provence, selle d’agneau poêlée aux épices douces et épeautre, pavé de cabillaud rôti, citron confit au cumin et endives caramélisées, sablés aux pommes et poires, chiboust à la vanille… autant de déclinaisons gourmandes revisitant la tradition avec créativité et fraîcheur. Pour accompagner le repas, le pain de campagne au levain, est réalisé sur place, avec sa croûte brune et craquante, révélant une mie humide et parfumée.

Ouvert midi et soir, 7 jours sur 7, le bistrot Le Pesquier bénéficie également d’une terrasse couverte surplombant la plaine de Mane, où il fait bon s’attabler en famille ou entre amis. Menu à 45 € (entrée, plat et dessert).


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